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Pourquoi on l’avait choisi

La Samsung Galaxy Watch 6, parce que pourquoi se contenter d'une montre qui ne fait qu'afficher l'heure, n'est-ce pas ? Ce modèle se distingue dans un océan de gadgets usés par le temps. Avec une autonomie qui ne vous laissera pas en rade après un entraînement, elle combine des fonctionnalités de fitness avec une esthétique qui crie "Regardez-moi, je suis actif". Les capteurs de santé, bien que parfois exagérés, font le job pour les obsédés de données. En gros, c'est la montre parfaite pour ceux qui veulent se donner un air sportif sans vraiment se fatiguer.

Ce que ça faisait

• Suivi des activités sportives : courses, natation, fitness.
• Surveillance de la fréquence cardiaque : pour ceux qui veulent savoir quand ils sont sur le point de mourir.
• Notifications intelligentes : parce que laisser votre téléphone dans la poche, c'est trop demander.
• Suivi du sommeil : pour analyser vos siestes et passer pour un expert en bien-être.

Ce que ça ne faisait pas

• Ne remplace pas un entraîneur personnel : désolé, pas de miracle ici.
• Ne guérit pas les douleurs liées à la sédentarité : même les montres ont leurs limites.
• Ne fait pas le café : une déception, mais on s’y attendait.
• Ne vous rend pas plus sociable : la technologie ne peut pas tout résoudre.

Détails inutiles

• Écran AMOLED 1,5 pouces : lumineux, même en pleine lumière, mais ne rend pas vos problèmes invisibles.
• Résistance à l’eau jusqu’à 50 mètres : pour les nageurs, mais pas pour les plongeurs de haut vol.
• Autonomie de 30 heures : suffisant pour un week-end actif ou une nuit de binge-watching.
• Compatibilité avec Android : forcément, Apple n'est pas invité à la fête.

À qui ça convenait

Pour l'amateur de fitness qui veut une montre qui ne lui crie pas de faire des pompes. Pour le professionnel qui veut être joignable sans sortir son téléphone, mais qui ne veut pas être vu en train de courir. Pour le procrastinateur qui aime regarder ses statistiques de sommeil au lieu de dormir.